Afin de s’assurer un lieu, de nombreuses organisations d’artistes choisissent de s’associer avec une ou plusieurs organisations pour utiliser un espace commun. Afin de déterminer si cette décision est avantageuse, certaines des ressources de cette section peuvent être utiles. Cette section contient de nombreux exemples d’études de faisabilité de colocation, ainsi qu’une boîte à outils sur les espaces partagés à but non lucratif préparée par la ville d’Edmonton.
a. Considérations sur la faisabilité de la colocation- Exemple de rapport (PDF, Anglais)
Exemple de rapport d’une évaluation du potentiel d’un espace de colocation à Vancouver. Comprend les éléments à prendre en considération et les résultats du processus d’évaluation.
b. Étude de faisabilité de colocation – Exemple de rapport (PDF, Anglais)
Exemple de rapport de faisabilité détaillé pour un site de colocation indiquant le processus et les éléments envisagés pour évaluer l’opportunité.
c. Description sommaire de la colocation – Exemple (PDF, Anglais)
Exemple de document de description de colocation. Fournit un exemple des caractéristiques qui définissent un site de colocation pour les organismes à but non lucratif.
d. Espace de travail commun, Rapport de recherche/faisabilité – Exemple, HiVE Vancouver (PDF, Anglais)
Exemple de rapport de recherche et de faisabilité d’un modèle de colocation et de création d’un espace de travail flexible et collaboratif axé sur la durabilité, basé à Vancouver.
e. Boîte à outils pour les espaces partagés à but non lucratif – Ville d’Edmonton (PDF, Anglais)
Guide Fulsome produit par la ville d’Edmonton comme boîte à outils et document de préparation pour les organismes à but non lucratif qui envisagent de développer un espace de travail partagé.
f. Rapport de consultation sur l’élaboration d’un concept d’espace partagé – Exemple (PDF, Anglais)
Rapport de consultation sur le concept au stade initial de la visualisation d’un centre d’innovation en colocation à Vancouver.
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Les peuples et les cultures ont toujours échangé et emprunté des idées pour créer de nouvelles formes d’art et d’expression symbolique. Que ce soit intentionnellement ou non, la plupart sinon la totalité des créations humaines reflètent des sources d’inspiration variées. Pourquoi, alors, certains produits sont-ils négativement caractérisé d’appropriation culturelle? Pour leurs créateurs sont-ils accusés de manquer de respect pour les cultures mêmes qu’ils trouvent inspirantes? Et pourquoi les produits inspirés du patrimoine culturel autochtone semblent-ils susciter des réactions particulièrement vives? Ce guide, développé par The Intellectual Property Issues in Cultural Heritage (IPinCH), aborde ces questions importantes. Il conseille les concepteurs et les spécialistes du marketing sur les raisons et les moyens d’éviter de détourner ces symboles et souligne les avantages d’une collaboration responsable avec les artistes et les communautés autochtones.
